Le vol de mon retour à Paris était de jour : jusqu’à présent, j’avais toujours pris le vol de nuit. Par chance, ce jour là, le ciel était dégagé pendant la première moitié du vol. Photos !
Décollage depuis l’aéroport de Hong Kong, sur l’île de Lantau. Durant ce séjour, j’ai habité dans l’un de ces immeubles légèrement incurvés : 69 étages (je n’étais qu’au dizième).
L’avion a survolé une partie de Hong Kong avec ses forêts d’immeubles tout contre une forêt d’arbres à flanc de montagne, coexistence très hongkongaise.
Survol aussi de Happy Valley et de son hippodrome. Les hongkongais sont passionnés de hippisme et les boutiques de Jockey Club sont toujours envahies par les parieurs les jours de courses.
Le port encore et les dernières presqu’îles…
Quelques minutes après, survol d’un port de la Chine continentale au bord de la Rivière des Perles. On distingue nettement les containers prêts à être embarqués vers les marchés occidentaux. Le contenu est-il déjà arrivé dans la hotte du Père Noël ?
La ville est hérissée de buildings et lacérée d’entrelas d’autoroutes : on croirait une ville américaine. C’est la Chine du XXIème siécle.
Deux heures après, l’avion survolait les montagnes chinoises, lointains contreforts de l’Himalaya. Plus besoin de commentaires, la beauté vue du ciel !
Puis survol d’immenses étendues plates et désertiques,à peine envahies par la neige.
Parfois des routes de nulle part croisent des voies ferrées d’ailleurs ou prennent des virages apparemment inexplicables.
Des lacs font tâches bleues.
La peau de la terre se craquelle, se fissure, se fendille, se brise, se veine et parfois ressemble à une grande feuille nervurée.
La neige couvre le tout et finit par se confondre avec les nuages
Pendnt les six dernières heures du vol, les nuages, des vrais cette fois-ci, ont tout recouvert jusqu’à Roissy. Il pleuvait à l’arrivée.
Voyez vous ces photos que j’ai eu la chance de découvrir sur FB en exclusivité ainsi présentées prennent un autre sens. J’ignore si cette poésie perçue dans votre billet vient du découpage en divers formats ou du texte qui l’accompagne… Ou peut être pour reprendre votre expression sont-elles ici moins « brutes de fonderie » ?
Un volet se referme sur HK par ce billet. On attend les récits de vos prochains voyages avec impatience !
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bravo pour ces photos, peut les utilisées sur un site?
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Ces superbes photos,comme les précédentes me remémorent la chanson que BARBARA chantait au cabaret L ECLUSE, « les voyages »:
Ah! les voyages…aux rivages lointains,aux rêves incertains
Qui effacent au loin nos larmes et nos chagrins….car les voyages
C’est la vie que l’on fait, le destin qu’on refait………….
Et le monde nouveau qui s’ouvre à nos cerveaux nous fait voir autrement ,et nous chante comment la vie vaut bien le coup malgré tout………………..
Ah!les voyages qui murissent nos coeurs et nous ouvrent au bonheur……….
Jean-Marie, Je te souhaite une BONNE ANNEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE ET ENCORE ET ENCORE!!! Monique
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De belles photos, très intéressantes. Tout comme vous lorsque je voyage j’aime beaucoup regarder la terre d’en haut, c’est une manière très agréable d’enrichir ses connaissances géographiques mais encore plus une incitation aux rêveries poétiques infinies. Encore faut-il avoir un hublot et ce n’est pas toujours le cas.
Meilleurs voeux pour vous et les vôtres, et au plaisir de vous lire.
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