Cette campagne présidentielle se focalise sur la lettre B. Comme bon (certainement pas…), bête (quoique …) ou bizarre ?
B comme Big Brother : c’est le petit Nicolas, qui, faute d’avoir quitter suffisamment tôt la place Beauvau, ne peut plus échapper à l’accusation d’utiliser à des fins partisanes les Renseignements généraux : il a beau protester de sa bonne foi, le doute reste… et restera. Son image d’intrigant ne plaide pas en sa faveur.
B comme Bécassine, c’est Ségolène qui doit supporter ce lourd sunom, du fait de ses Bourdes (rejointe dans ce domaine par Chirac, mais il est hors course). Faudra-t-il attendre le 11 février pour que l’on oublie Bécassine pour … Brillantine ? C’est une préparation qui date du 19ème siècle, utilisée pour lustrer et discipliner les cheveux. Est-ce le secret de sa Beauté ? Dommage qu’elle ait déjà gaspillé le mot Bravitude !
B comme Bayrou, qui commence à intéresser la presse internationale comme le montre cette revue de presse du Courrier international. De mouton bêlant en 2002, il est passé dans le rôle nettement plus avantageux de mouton enragé.
Mais d’autres B s’invitent.
Blair, par exemple, qui semble mieux apprécier Sarkozy que Royal. Il n’a qu’une seule Queen !
Bové aussi, qui risque d’effacer un autre B, celui de Marie-George Buffet, bien mal partie, de toute manière. Son meilleur rôle restera celui de Ministre des sports sous le gouvernement Jospin.
D’autres B ? Faire attention à celui des Bienveillantes, ce sont des affreuses sorcières qui ne veulent que le mal de l’humanité…